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Notre appartenance à la chaîne du vivant va inspirer de multiples domaines de notre quotidien : alimentation, santé, culture, etc.
Evoquons ici quelques autres applications découlant de ce sentiment d’appartenance
Relation à nos ancêtres
La conscience de notre place dans l’aventure de la vie nous conduit à une vision dynamique, constructive. Ne pas se contenter d’honorer les cendres de nos ancêtres mais nous employer à faire revivre la flamme qui les animait.
Débats futiles évités en changeant de niveau
Se placer au niveau de notre vocation à accueillir la vie nous évite les débats stériles pour aller à l’essentiel, à la source. Ce qui permet plus facilement de réunir les hommes dans la diversité de leurs approches en assemblant leurs éclats de vérité.
Non agir
Cette approche donne aussi du sens à des démarches de sagesse ; je pense au non-agir souvent difficile à comprendre. On pourrait dire, de manière succincte et explicite, que non agir c’est permettre à la vie d’agir en nous… avec notre participation active
Le maître véritable respecte la liberté du disciple
Et la quête de sagesse ?
Pas de solutions miracle en vue à nos questions quotidiennes, mais avec cette nouvelle vision de notre place dans l’aventure du vivant, nous voilà renvoyés à notre discernement, à notre éthique, à notre capacité de créer, d’aménager. Ainsi, le vivant nous enseigne comme le ferait un véritable maître conduisant son élève à devenir autonome dans la recherche de sa vérité, en lui évitant le piège du confort d’une réponse toute faite !
Pas de recette, simplement un cheminement pouvant nous encourager à chercher les repères qui nous sont destinés dans le respect de notre histoire et de notre devenir propre.