L’Ecole Buissonnière vous offre des occasions pour vous réapproprier des savoir-faire sur lesquels tisser au quotidien votre nouvelle existence : l’alimentation, le sommeil, la santé, le rôle de l’esprit et celui des remèdes prodigués par la nature, les liens entre les hommes et le cosmos, Le divin enfin puisque c’est toujours à lui qu’on aboutit, pour le nier ou le remercier, dès qu’on fait l’effort de s’interroger au lieu de se comporter en robots téléguidés par de soi-disant maîtres à penser.
C’est en redécouvrant des vérités toutes simples, nées avec nos plus lointains ancêtres et confirmés par des siècles d’expérience, que se trouve la clé du bonheur. La sagesse et le bon sens ne font qu’un.
En renouant avec des habitudes et des traditions millénaires dont il a accepté, bon gré mal gré, d’être séparé, l’homme pourrait reprendre contact avec un monde taillé à sa mesure. Ayant repris conscience de sa juste place dans l’univers en même temps que de tout ce que celui-ci est apte à lui apporter, il se conformerait alors aux règles qui commandent son bien-être d’où découle la joie de vivre.
Si nous prenions la peine d’ouvrir les yeux, c’est à dire de réfléchir, il nous apparaîtrait que la plupart des maux dont nous nous plaignons proviennent de ce que nous n’observons pas ces règles du jeu, les lois justes qui gouvernent l’univers dont l’homme fait partie intégrante bien qu’infime.
Obéir à la nature qui est l’image de la sagesse de la création est la clé de la santé.
On tire souvent davantage de joies d’un profit auquel on renonce que ce profit lui-même. Il faut savoir laisser fleurir la salade.
D’après Jean Palaiseul