Pour tenter de vous répondre le mieux possible, une distinction est à faire
1. Vous avez une activité associative ou professionnelle indépendante
Vous êtes donc au cœur de l’action, vous êtes une personne pragmatique et quels que soient vos centres d’intérêt, que vous soyez personnellement sensible ou non aux questions « écologiques », il est de bonne gestion de compléter, si vous ne l’avez pas déjà fait, votre culture générale en y incluant une bonne connaissance des enjeux actuels, des aspirations prioritaires, des nouveaux modes de penser, d’agir, de communiquer. Ce sont là les nouveaux pré-requis, débouchant sur de nouveaux comportements dont vous pourrez tirer profit.
En outre, la transition est un sujet qui ne manque pas d’être abordé par vos différents interlocuteurs : votre image de personne responsable en dépend dans la mesure où vous ne vous contentez pas de relayer les rumeurs et infos qui circulent en boucle sur le net ; vous devenez capables d’exprimer une opinion personnelle.
Les formations, en effet, ne vous conduisent pas à adopter une ligne de conduite traduisant une vérité absolue, mais bien au contraire, à mettre à votre disposition les multiples éclairages sur un sujet complexe et multiforme qui permettent à chacun d’adopter la position qui correspond à sa sensibilité, à son histoire et au contexte dans lequel il évolue, en connaissance de cause, de manière lucide et critique.
2. Ce n’est pas votre cas : étudiant, retraité, salarié, sans emploi
Nous vivons véritablement une période incroyablement riche avec des mutations imprévisibles, des perspectives vertigineuses : c’est une situation inédite dans l’histoire de l’humanité qui se déroule sous nos yeux.
Alors, il serait dommage de ne pas disposer d’une information fiable sur ce qui se passe. Par curiosité intellectuelle, certes, mais aussi pour déjouer les pièges et les nouvelles manipulations que ces changements commencent à entraîner. Il ne s’agit pas ici de vous inviter à participer à des actions « écologique », mais uniquement de vous permettre de vivre avec discernement sans tomber dans les filets des chantres du déni ou du catastrophisme ; disposer ainsi d’un esprit critique vous permettant de préserver votre liberté en comprenant les manipulations dont vous pouvez être l’objet. Au minimum, cela permet de faire le point sur les émotions qui peuvent vous habiter ou que certains cherchent à provoquer : peur, culpabilité avec comme conséquence éco-anxiété, repli sur soi, malaise diffus…
La qualité de vos échanges avec votre entourage en dépend également, comme cela vient d’être dit ci-dessus.
Alors, ne serait-ce qu’une journée de présentation passée à découvrir ce qui se cache derrière ce concept de « transition » pourrait clarifier votre regard, vous aider à mieux trouver votre place, à donner du sens à vos activités et vous permettre de vivre plus sereinement grâce à une vision réenchantée de notre monde.
Des propositions modulables et progressives
Elles vont de la journée de sensibilisation à un cursus de deux semaines ! Il y en a pour tous. Donc, la sagesse pourra consister à s’inscrire à une journée, sachant que si vous souhaitiez approfondir, le prix déjà payé sera déduit d’une formation plus longue. Et pour les deux semaines « transition » elles font l’objet d’une « participation consciente » pour être au plus proche de l’intérêt que vous en retirerez et de vos moyens financiers.
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